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Page:Gogol Chirol - Contes et nouvelles.djvu/164

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qu’il ne comprenait pas comment, dans le siècle civilisé où l’on vivait, pouvaient se répandre des bruits faux et absurdes, et qu’il s’étonnait que le gouvernement ne tournât pas davantage son attention sur ce sujet. Ce monsieur était visiblement du nombre de ces gens qui souhaiteraient immiscer le gouvernement dans toutes choses, voire dans leurs querelles journalières avec leurs femmes.

À la suite de cela… Mais ici l’histoire se couvre de nouveau d’un nuage épais, et de ce qui arriva ensuite, on n’en sait absolument rien.