Page:Gojon - Le Jardin des dieux.djvu/216

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Inerte, toute entière adonnée au poison,
Tu rêves dans l’extase et dans la pâmoison
Et le pâtre, au créneau des montagnes lointaines,

Fils ignorant de ceux dont les bâtons armés
Ont pourchassé la Louve au milieu de tes plaines,
Contemple sans savoir tes temples exhumés.