Page:Gojon - Le Jardin des dieux.djvu/66

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Des heures tintent lentement
Sur le bord de la nuit sereine.
On dirait, clair enchantement,
Qu’un collier de verre s’égrène,

Et, laissant le jet d’eau mouiller
La grenade qui se desserre,
Je vais battre un rouge oreiller
Dans la chambre des janissaires.