Page:Goncourt, L'Italie d'hier, 1894.djvu/197

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que terrasses-jardins surchargées de curieux, que somptueux atrium de temples aux chapiteaux d’or, au pavé de mosaïque, enfin que portiques à jour, où dans l’ombre des arceaux, parmi les balafres de soleil, papillotent des couleurs de pierres précieuses.

Cette lampe du Dôme de Pise, que dessine mon frère,