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Page:Goncourt - Hokousaï, 1896.djvu/221

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197
hokousaï.

1818.

Deux planches d’un format carré, qui va devenir le format habituel des sourimonos.

1819.

Daïkokou se promenant au bord d’une rivière, peuplée de lézards fantastiques.

1820.

Réapparition de nombreux sourimonos, dont la production était devenue assez rare dans les années précédentes, et sourimonos, où, chose curieuse, apparaît l’influence de Gakoutei et de Hokkei, les deux élèves supérieurs de Hokousaï.

Une série de monuments roulants de fêtes, qu’on traîne dans les rues.

Une série de cinq poétesses.

Une série intitulée : Comparaison de la force des héros de la Chine et du Japon.

Parmi les planches détachées : une jeune fille en train de tirer une épreuve près d’un graveur entaillant une planche ; un Japonais tenant contre lui, posée sur une table de go, une élégante poupée japonaise, aux colorations merveilleuses, se détachant d’un fond d’or