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l’art japonais.

harmonieusement vert-de-grisée. Et nombre de natures mortes, comme un bol de laque noire et une boîte de baguettes à manger ; comme une grande planche, où sont groupés un barillet de saké, une jonchée d’iris et de chrysanthèmes, un panier d’oranges, — un sourimono, exécuté pour un banquet donné à un lettré.

1821.

Une série intitulée : les Frères des sujets guerriers de la Chine et du Japon ; une série rappelant les ressemblances entre les faits héroïques de l’un et de l’autre pays.

Une grande série de métiers, dont on ne sait pas le nombre.

Une série d’industries des bords de la mer.

Des natures mortes, parmi lesquelles une série de coquilles.

Une feuille isolée représentant un grand serpent blanc, ce serpent porte-bonheur, qu’on dit être l’annonce d’un événement heureux, pour celui qui a la chance de l’apercevoir.

1822.

Une impression curieuse. Deux énormes perles jetant comme des rayons, deux perles