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Page:Goncourt - Hokousaï, 1896.djvu/402

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table des paragraphes.
Pages.
Hokousaï, à la suite d’une affiche, qu’il avait faite pour un marchand d’estampes, déchirée par un camarade de l’atelier Shunshô, quitte l’atelier et signe sous le nom de Blougoura, des compositions tout à fait indépendantes du style des anciennes écoles 
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De 1786 à 1794, Hokousaï illustre un Fragment de l’Histoire de Minamoto, un Conte pour les enfants, Conte du voyage des deux routes de ta Richesse et de la Pauvreté, le Cordon d’une fille, la Fête improviste au quartier des Maisons vertes 
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Les Sourimonos d’Hokousaï de 1793 à 1804, dans lesquels apparaît pour la première fois seulement en 1798, le nom d’Hokousaï 
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En 1797, Hokousaï publie : les Primeurs des légumes verts, les Cordelettes du saule pleureur, la Distraction du Printemps, la Brume de la Campagne 
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En 1798, Hokousaï publie : Chansons de danse pour hommes, Histoire naturelle des Monstres du Japon 
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