porte, une femme à cheval et un garçonnet se rafraîchissant.
La coulisse d’une représentation dans un palais : l’ouverture du manuscrit de la pièce, les apprêts de la toilette des acteurs, les essais des instruments.
Cette année, étant sous le signe zodiacal du rat, un sourimono du Jour de l’An représente un énorme rat en neige, auquel un peintre peint l’œil, dans un attroupement d’hommes et de femmes.
L’année 1804 est l’année, où Hokousaï a publié
un nombre de sourimonos tel, que Hayashi
dit, que personne ne pourrait en publier le catalogue
complet.
À ce catalogue de sourimonos, qui me sont presque entièrement fournis par la collection de Hayashi, et un rien par la mienne, je voudrais joindre quelques-uns des plus beaux, des plus originaux parmi les grands, parmi ceux qui mesurent comme largeur 50 centimètres sur 18 de hauteur, et qui se trouvent dans les autres collections.
Et tout d’abord, je citerai parmi ceux de la collection Manzi, qui sont en grandissime