Il demeurait dans tout cet homme quelque chose d’un grand principe tombé en enfance. C’était une bête généreuse, noble, vénérable, une bête de cœur et de race.
Gavarniana.
— Je hais tout ce qui est cœur imprimé, mis sur du papier.
— Je fais le bien, parce qu’il est un grand seigneur qui me paye cela, — et ce grand seigneur, c’est le plaisir de bien faire.
— Le chemin de fer et sa vitesse relative, voilà un beau progrès, si vous avez décuplé chez l’homme le désir de la vitesse !
— Gavarni disait de Dickens « qu’il avait une vanité énorme et paralysante, peinte sur la figure. »
— Gavarni avait vu de Balzac un billet ainsi rédigé :
Mon cher Posper (sic), viens ce soir chez Laurent-Jan, il y aura des c… p… bien habillées.
— Quand Gavarni avait été à Bourg avec Balzac pour tâcher de sauver Peytel, il était obligé de lui répéter à tout moment : « Voyons, il s’agit d’une