Page:Goncourt - Journal, t9, 1896.djvu/299

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profils et une tête de face, dont la construction est d’un puissant manieur de glaise.

Rosny (l’aîné), peint, dans un lavis à l’encre de Chine, par Mittis (1894), sur un exemplaire du : Bilatéral.

Paul Margueritte, peint, à l’huile, par Bouchor (1891), sur un exemplaire de : Tous Quatre.

Rodenbach, peint à l’huile par Stevens (1891), sur un exemplaire du : Règne du Silence, un portrait donnant l’aspect spirituellement animé de la physionomie du poète.

Gustave Geffroy, peint à l’huile par Carrière (1890), sur un exemplaire des : Notes d’un Journaliste, un portrait qui est un chef-d’œuvre.

Hennique, peint à l’huile par Jeanniot (1890), sur un exemplaire de : Un Caractère, un portrait d’une ressemblance charmante dans une habile peinture.

Descaves, peint à l’huile par Courboin (1890), sur un exemplaire des : Sous-Offs.

Hervieu, peint à l’aquarelle par Jacques Blanche (1890), sur un exemplaire de : Peints par eux-mêmes, un portrait donnant la douce expression mélancolieuse de ses yeux.

Hermant, peint dans un croquis légèrement aquarellé de Forain, sur un exemplaire du : Cavalier Miserey, un croquis amusant, donnant au jeune auteur, avec ses moustaches relevées, ses cheveux ébouriffés, l’apparence d’un petit chat en colère.

Ajalbert, peint à l’huile par Carrière (1894), sur un exemplaire de : En Amour.