batteurs d’arbres, en lesquelles recommence l’ouvrage du jour dans le cauchemar de la fatigue, des nuits batailleuses avec son matelas, et où le corps de Gianni continuait en rêve les exercices violents de sa profession.
Quant au second fils, il n’était encore que ce bambin à la mamelle que sa mère, dans son étroite et indénouable maternité, s’entêta à nourrir jusqu’à près de trois ans, en sorte qu’on voyait le garçonnet quitter les enfants avec lesquels il jouait, pour aller téter sa nourrice, et bientôt revenir en courant à ses petits camarades.
La force dans la douceur et l’inoffensivité : c’était l’Hercule de la troupe avec une paresse et une économie singulières des mouvements de son corps, quand il ne travaillait pas. On le voyait toujours dans