Page:Gorki - Ma Vie d’enfant.djvu/93

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crâne, comme un cortège de chars dans la rue, en hiver, et j’étais terriblement oppressé…

La porte très lentement s’ouvrit, grand’mère pénétra dans la chambre et referma la porte contre laquelle elle s’appuya. Puis, tendant les mains vers la flamme bleue de la lampe éternelle, elle se mit à gémir tout bas, comme une enfant :

— J’ai mal aux doigts, j’ai mal aux doigts…