2° Les formes particulières à A qui sont dues au copiste anglo-normand.
Il est fait une mention spéciale des cas où A et B offrent des formes lorraines ou autres qui coïncident. Les autres exemples sont relevés par Haase, Grand ou Fant[1] d’après la rédaction en vers, et se retrouvent dans A mais pas dans B, du moins aux passages cités.
Dans les notes du texte même nous donnons les cas parallèles d’autres ouvrages, ou les autorités qui les confirment.
Formes plus spécialement lorraines.
pais (= pas) fo 10 b.
ainz (= L. annos) fo 108 a.
ausin fo 10 b, 10 d.
praingne (de prendre) fo 8 b.A et B.
*weil (de voloir) fo 26 d[2].
*weille (de voloir) fo 7 d.
soufferrient fo 10 c.
pouist (de pooir) fo 32 b.A et B.
sainz (= L. sine) fo 20 d, passim.
*matire fo 26 d, passim.
*sicle fo 4 a.
*aparcevoir fo 36 b, passim.A et B.
*clargie fo 104 b.
*darreniers fo 21 d.A et B.
*paries fo 65 c.
*pardre fo 100 d, passim.
*darrieres fo 97 b.A et B.
*estoles fo 33 b.
sache fo 90 a (= L. siccam.).