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L’ACADÉMIE DE FRANCE À ROME[1]


Au moment où, sous le masque d’un soi-disant naturalisme dans l’art, on s’efforce de jeter la défaveur sur cette noble et généreuse institution de l’Académie de France à Rome, il m’a semblé que c’était un devoir de protester contre des tendances dissolvantes qui, si elles pouvaient aspirer à l’honneur de s’appeler des doctrines, n’iraient à rien moins qu’à l’oblitération

  1. Janvier 1882.