Page:Gourmont - Le IIme Livre des masques, 1898.djvu/267

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en ce genre, le roman de l’ironie comique, de l’amertume exhilarante : que de joies il nous eût données !

C’était un homme de talent et d’un talent peu ordinaire, un esprit supérieur ; il ne doit pas être oublié : on peut encore lire ses romans, goûter plus d’une page de ses vers et, pendant longtemps, ses critiques d’art fourniront des idées, une méthode et des principes.