Page:Gourmont - Sixtine, 1923.djvu/151

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paules se relèveront délivrées. Pardonne-moi, très révérende madone et sache me punir.

 « Ah ! l’amour est terrible et je souffre d’aimer !
Comment bénir encore tes adorables pieds ?
Comment d’un front souillé par des lèvres de femme
Recevoir le divin sourire où joue ton âme ?
Comment bénir encore tes adorables pieds ? »