Page:Gozlan - Les Nuits du Père Lachaise, tome 2, A. Lemerle, 1845.djvu/173

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— Mais comment se relève-t-on ? ajouta sir Caskil.

— Couvert d’un peu de poussière, répondit Tancrède d’un ton railleur.

— Et de beaucoup de ridicule, dit à son tour l’étranger. Dans quelques mois, il est vrai, se reprit-il, je serai au cap de Bonne-Espérance, retiré dans ma hutte ; et qui viendra là-bas me faire rougir de ma mésaventure ?

— C’est encore un jeu qu’il joue, pensa le docteur suivons-le bien.

— Allons, dit lady Glenmour, voyant sir Caskil chancelant, allons ! soyez complaisant, sir Caskil.

Le docteur intervint tout de suite.

— Encore une observation, dit-il ; et il crut qu’il était temps de la placer, puisque lady Glenmour engageait elle-même sir Caskil à ne pas persister plus longtemps dans