qu’il redoutait à l’égal du déshonneur, à l’égal de l’infamie !…
Mais, se faisant bon courage sur-le-champ, elle s’empara de l’affiche.
— Donnez, dit-elle à Fabry, donnez ! son homme d’affaires connaîtra immédiatement…
Elle sonna, un domestique accourut.
— Ceci, à l’instant, lui dit Valentine, chez M. Durosoy.
Le domestique sortit en emportant l’affiche chez l’homme d’affaires.
— Malheureusement, continua Fabry, cette affiche, qu’un de nos amis communs, à Georges et à moi, m’a fait parvenir ce matin, est déjà collée à la grille de son château ; dans huit jours, elle couvrira les murs de Paris.
Valentine retomba sous le même accablement.
— Pauvre Georges ! Ce malheur qu’il redoutait est donc arrivé ! Mais, monsieur de Fabry, n’est-il aucun moyen d’arrêter, de suspendre cette odieuse expropriation forcée ? Cherchons.
— Il faudrait payer avant huit jours six cent mille francs ou donner aux créanciers des garanties tellement