dette sacrée envers la personne qui jusqu’à présent a le plus mérité ma reconnaissance (à l’exception de mon cher époux). Songez aussi à la douleur que j’éprouverais si la première demande que je vous ai adressée depuis que j’ai l’honneur de porter votre nom, m’était froidement refusée.
Puisse votre réponse ne pas me dire trop brièvement que mon humble requête a trouvé grâce devant vous !
Je suis désespéré, Madame, que le service du roi ne me permette pas de rendre libre le jeune homme auquel vous voulez bien prendre intérêt ; mais il serait mon parent, que je ne saurais prendre cela sur moi, maintenant surtout que l’engagement est sorti de mes mains pour passer dans les bureaux du ministre.
Croyez à tout le regret que j’ai d’être obligé de vous refuser, et à toute ma reconnaissance pour les sentiments exprimés dans votre lettre. Ils se retrouvent naturellement dans le cœur