… Puis truis à la rue à Jugleeur
C’on ne me tienne à Jeugleeurs[1].
vièle à quatre cordes et flute
Manuscrit des Minnesinger (xiiie siècle).
Plus tard elle prit le nom de rue des Ménestrels, et en 1482, celui de rue des Ménestriers[2].
- ↑
Puis je trouve la rue aux Jongleurs
Qu’on ne me prenne pas pour un railleur.
(Les rues de Paris mises en vers, mss. du xvie siècle, vers 372, De Barbazan.)
- ↑ Cette rue a fait place à la rue de Rambuteau.