Cabroly. — Toulouse, 1747 :
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/1/1a/%C3%89tiquette_Cabroly_-_1747_-_T2p302.png/330px-%C3%89tiquette_Cabroly_-_1747_-_T2p302.png)
Cailhe-Decante. — Charroux (Allier). Gendre et élève de Décante [1]. M. J.-B. Cailhe, qui est né à Charroux le 21 mai 1831, s’est associé M. Henri Cailhe, son fils, né dans la même ville, le 8 août 1864. Ils ont pour enseigne : À la vielle bourbonnaise.
Calot. — Paris, 1830. Originaire de Mirecourt. Il travailla d’abord chez Clément, et s’associa, en 1830, avec Augière, rue Saint-Eustache, 12. Bonne lutherie, vernis jaune-rouge.
Campion. — Connu par une guitare exposée à Paris, en 1823.
Caron. — Versailles, 1775-1790 environ. Luthier ordinaire de la reine. L’étiquette d’un alto, de bonne facture, vernis brun-noir, nous apprend qu’il habitait rue Royale, en 1777 :
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/d/d4/%C3%89tiquette_Caron_-_1777_-_T2p302.png/250px-%C3%89tiquette_Caron_-_1777_-_T2p302.png)
Plus tard, on le retrouve rue Salory. C’est là, en 1785, qu’il construisit le dédacorde qui est au musée du Conservatoire de musique, à Paris[2], lequel est orné d’une rosette aux initiales de Marie-Antoinette.
Carré (Antoine). — Arras, vers 1750. Luthier habile, dont on connaît des vielles organisées.