Page:Grillet - Les ancêtres du violon et du violoncelle, 1901,T2.djvu/343

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depuis 1882, M. Émile Germain est resté seul à la tête de la maison.

Artiste habile, travailleur consciencieux, ses instruments font honneur à la lutherie française moderne.

Gilbert (Nicolas-Louis). — Metz, 1701, connu par un pardessus de viole, à cinq cordes, appartenant à MM. Mabillon frères, à Bruxelles, qui figura à l’Exposition, en 1878. à Paris.

Gilbert (Simon). — Metz, 1737-1760 environ. Un quinton de cet auteur, daté de 1744, fit partie de la collection Sax ; un instrument semblable, de 1749, appartint à M. Loup :

Giquelier (Cristofo). — Paris, 1712. Dont il y a une viole bâtarde, laquée, à six cordes, au musée du Conservatoire, à Paris[1].

Girod (Claude). — Bruni, qui inventoria une viole de cet auteur, n’indique ni l’époque ni la ville où il travaillait.

Giron. — Troyes, 1792. Sans doute les fils du précédent :

Giron. — Troyes, 1770. Associé de Villaume [2].

Gonnet (Pierre-Jean). — Paris. 1775-1783.

Gosselin (Jean). — Paris, 1814-1830 environ. Luthier

  1. N° 153. Catal., 1884.
  2. Voir ce nom.