Page:Grillet - Les ancêtres du violon et du violoncelle, 1901,T2.djvu/65

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« On y voyoit la Chancellerie en corps, deux ou trois rangs de gens graves, en manteau noir et en grand chapeau de castor, qui escoutoient d’un sérieux admirable les menuets et les gavottes de leur confrère le musicien[1]. »

j.-b. lully (1633-1689)

C’est en 1669 que l’abbé Perrin obtint du roi des lettres patentes pour l’établissement « d’une Académie royale de musique » où l’on chanterait en public des pièces de

  1. Lecerf de la Vieuville de Freneuse. Ouvrage déjà cité.