Page:Guaita - Rosa mystica, 1885.djvu/159

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À Horace


Rimeur d’odelettes sublimes
Avant Ronsard !
Adepte badin du grand art,
Ils sont d’or les vers que tu limes !

Si nous t’avons tous blasphémé,
Illustre maître,
Avant de t’avoir pu connaître
Et, partant, de t’avoir aimé,