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Les voiles de la mort couvrent les yeux hagards,
Tandis que dans le fond vitreux des froids regards,
Comme un blême reflet dans une onde fugace,
Le songe merveilleux agonise et s’efface.
Les voiles de la mort couvrent les yeux hagards,
Tandis que dans le fond vitreux des froids regards,
Comme un blême reflet dans une onde fugace,
Le songe merveilleux agonise et s’efface.