Page:Guerne - Les Siècles morts, III, 1897.djvu/50

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Et, les deux pieds posés sur les nuques des femmes,
Élagabal, hissé devant le porche ardent,
Triomphalement nu surgit dans l’air en flammes
Et, brandissant le sceptre entre ses mains infâmes,
L’offre au divin Soleil qui meurt à l’Occident !