Page:Guillerm, Recueil de chants populaires bretons du pays de Cornouaille, 1905.djvu/155

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Les jeunes gens disaient alors en quittant leurs maisons,
au revoir ma sœur Mar’Jeannic et vous ma sœur Marie.
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Comme ils étaient sur la hauteur de la colline du Roi
faisant chemin sur la grand’route, j’entendis les cloches
de Tréguier sonner pour la messe.
11
Je disais à mes amis : allons à la messe, car là où nous
allons à présent il n’y a pas de prêtres.
12
Car là où nous allons à présent il n’y a pas de prêtres,
pour chanter ni les vêpres, ni la grand’messe.


et environs. Ceci sortirait du cadre que nous nous sommes tracé et serait véritablement trop long. Les amateurs n’ont qu’à se transporter sur les lieux et trouveront amplement matière à satisfaire leur curiosité de linguistes.