Et la Coſſonnerie[1] après.
Et por moi mieux garder des halles,
Par deſouz les avans des halles[2]
Ving en la rue à Preſcheeurs[3],
La bui avec frères meneurs
Dont je n’ai pas chière marie.
Puis alai en la Chanverie[4],
- ↑ De la rue Saint-Denis aux Avans-des-Halles.
Ce nom est une corruption de via cochoneria, rue où l’on vend des cochons.
- ↑ De la rue de la Cossonnerie à la rue de la Poissonnerie.
Cette rue, dont le vrai nom était des Piliers-des-Halles, devait sa dénomination aux maisons garnies de boutiques de fripiers dites Piliers-des-Halles ; les dernières d’entr’elles disparurent lors de la démolition de la rue de la Tonnellerie (1866). La rue dont nous nous occupons ici, qui devint plus tard la rue aux Potiers-d’Étain, a été entièrement démolie lors de la construction des nouveaux bâtiments des Halles.
- ↑ De la rue Saint-Denis aux Avans des Halles.
Le nom de cette rue vient vraisemblablement d’une figurine en bois sculpté qui se trouvait au coin de la rue Saint-Denis, et représentait un apôtre prêchant.
- ↑ De la rue Saint-Denis à la rue Maudestour.
Sauval prétend qu’il faudrait écrire Champ Verrerie
