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Page:Guinault - Blondin, blondine et blondinet (1880).djvu/63

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heur à leurs parents… vous voyez bien !

On s’installa. Claude fut bientôt rétabli ; comme il détestait l’oisiveté, la surveillance du superbe jardin lui fut confiée. Chaque jour s’écoulait pour lui plein de calme et de satisfaction.

Les enfants s’habituèrent vite au confortable et prirent des manières en rapport avec leur nouvelle position, c’est-à-dire qu’ils n’en prirent pas du tout, qu’ils restèrent simples et naturels tout en se soumettant aux convenances.

Les plus heureux, c’était certainement l’oncle et la tante entourés de respects et d’affection.

Il n’y avait pas de temps à perdre pour l’éducation de Blondin, on le mit au lycée voisin ; on lui donna des répétiteurs afin que ses progrès