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Page:Guinault - Blondin, blondine et blondinet (1880).djvu/72

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vre…, alors, involontairement, il oublie le maître, les livres, les pensums et le collège, son cœur bondir vers ceux qu’îl aime, ses bras se tendent vers eux… Pour se consoler, pour prendre patience, il n’a trouvé qu’un moyen : écrire l’histoire de sa famille ; car Blondinet — c’est moi !


FIN