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Page:Guiraud - Chants hellènes, 1824.djvu/36

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Chant second.




IPSARA.




Oui, la Grèce toujours m’intéresse et m’inspire[1],
Je lui vouerai du moins les secours de la lyre.
Que ne m’est-il donné de faire, en vers puissans,
Par cent bouches d’airain éclater mes accens !

  1. J’ai déjà adressé, en 1820, une ode aux Grecs, qui est imprimée dans mes Poèmes et Chants élégiaques. Cette noble cause a été pour tous nos jeunes poètes une source féconde de belles inspirations.