vêtements l’un après l’autre, d’abord le manteau, puis la ceinture, la première tunique, la seconde plus légère, tous ses colliers ; et la vapeur du cinnamome enveloppe ses membres nus. Elle se couche enfin sur la tiède mosaïque. Sa chevelure à l’entour de ses hanches fait comme une toison noire, — et suffoquant un peu dans l’atmosphère trop chaude, elle respire, la taille cambrée, les deux seins en avant. Tiens !… Voilà ma chair qui se révolte ! Au milieu du chagrin la concupiscence me torture. Deux supplices à la fois, c’est trop ! Je ne peux plus endurer ma personne !
L’homme qui tomberait serait tué. Rien de plus facile, en se roulant sur le côté gauche ; c’est un mouvement à faire ! un seul.
Avance, dit-elle. Qui te retient ?
J’ai peur de commettre un péché !