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ment la porte de la chambre des jeunes filles et il lui suffit d’y jeter un coup d’œil. Mariannik, derrière ses rideaux, dormait profondément ; le lit d’Yvonne était vide.

Il remua mélancoliquement la tête à plusieurs reprises, et soupira, après avoir refermé la porte ;

— J’aurais dû m’en douter !… Pauvre enfant, avec ce temps-là, elle doit être là-bas, à Pen-hat, à l’attendre !… Toujours !… Toujours !…