Page:Guttinguer - Dernier Amour, 1852.djvu/24

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
24

Il en sera de même encor, je veux le croire,
Demain, et tu seras mon amour et ma gloire.
Quand je te reverrai ! — Les jours passent ainsi,
Dans l’espoir combattu par un amer souci,
Jusqu’à l’heure où vers moi venant, toujours la même,
Tu me dis : M’aimes-tu toujours ? oh ! moi, je t’aime !