Page:Gyp - Bijou, Calmann-Levy, 1896.djvu/215

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— Oh ! — fit-elle désolée, — tu pleures !... et c’est à cause de moi ?... Jean !... Jean !... je ne veux pas que tu pleures, entends-tu ?...

Il prit la petite main qui courait sur son visage et y posa un long et chaud baiser.

Puis, repoussant doucement Bijou qui s’attachait à lui, il s’éloigna très vite.