Aller au contenu

Page:Hémon - Maria Chapdelaine, 1916.djvu/236

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
212
MARIA CHAPDELAINE
 Les corrections sont expliquées en page de discussion

rait l’approche de la mort. Et une peur nouvelle leur vint à tous, presque plus forte que leur peur de la perdre.

— Vous ne pensez pas qu’elle va mourir avant que M. le curé revienne ? demanda Maria.

Tit’Sèbe eut un geste d’ignorance.

— Je ne peux pas dire… Si votre cheval n’est pas trop fatigué, vous feriez bien d’aller le chercher dès qu’il fera jour.

Les regards se tournèrent vers la fenêtre, qui n’était encore qu’une plaque noire, et de là