sons que j’ai données plus haut. Mais à bord de mon 6 mètres il en est autrement ! Là je puis, avec ma connaissance de la voile, m’employer tout à fait, sans la crainte de dépasser ma résistance physique, quoique certains jours cela soit bien dur par gros temps.
Mais quel bonheur de mener son bateau, de la conduire joliment et âprement dans la lutte !
Mes plus belles victoires à la barre de 6 mètres sont :
— d’Helsingfors (Finlande)
En 1927, la Coupe du Cercle de la Voile de Paris, si longtemps exilée, que je ramenai barrant « Petite Aile II » pour la première fois, devant Ryde (Angleterre ).
Puis de nombreux et glorieux premiers prix ramenés d’Italie, d’Angleterre, de Danemark, de Suède, de Norvège, d’Estonie et d’Espagne.
Bons souvenirs, précieux moments qui embellissent une vie maritime !
COUPE D’ITALIE
Pour la 5e fois, je cours la Coupe d’Italie en 8 mè-