duisons le supplément proposé par Weil, πάπτη]νον ἄλλῃ.
3. Sur une seule ancre. Les trois vers qui suivent sont trop mutilés pour qu’on puisse les restituer d’une façon vraisemblable. Crusius introduit fort étrangement l’idée de la mort (l’ennemi commun ?) et donne des mots μηδὲ εἷς ἀναστήσῃ une explication inadmissible. Buecheler entend : nec quisquam excitet (sollicitetve) ; c’est forcer le sens de ἀναστήσῃ. Peut-être faudrait-il entendre par ce dernier mot, non pas excitet, mais recreet ; le sens serait alors : « un nouvel ami, si l’orage éclate, et que nul ne te ranime, sera là pour te protéger ». Mais ce sont là de simples conjectures, peu conciliables avec les lectures de Blass.
4. Parle aux jeunes femmes… Blass, dans son récent examen du papyrus, a lu, non μιτρηίαισι (texte de Buecheler) ni μετρηταῖσι (texte de Crusius), mais ὃν δὲ γρῄαισι πρ. γυν. τ. ν. ἀ.. Nous avons profité de cette dernière lecture.
5. La fin du vers est très mutilée : nous hasardons un sens probable.
6. Myrtalé et Simé sont sans doute de jeunes pensionnaires de l’entremetteuse.
Mime II
1. Mon pauvre pain. Κοὐδέ est inadmissible. Nous suivons le texte de Buecheler : ἐγὼ δ’ ἐμοὺς ἄρτους.