Page:Haag - Le Livre d’un inconnu, 1879.djvu/103

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Beaux yeux, cher opium pour mon âme aux abois,
Je dirai la fraîcheur pénétrante des bois
Détachant sur les cieux blanchis leurs sombres masses

Par les longs jours d’été brûlant, aux heures lasses
Du soir ; ou la douceur mystique des hautbois
Dans l’orage apaisé des cuivres et des basses.