Page:Haag - Le Livre d’un inconnu, 1879.djvu/25

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Et puis, le soir venu, s’arrêter prés d’un champ
Désert, pour admirer un beau soleil couchant,
Pour contempler, noyé dans la brume indécise,
Paris, ses dômes d’or, la flèche d’une église,
Et l’océan confus des toits et des maisons
Se perdant dans la nuit des sombres horizons
Où quelque vitre en feu met sa rouge étincelle ;
— Et penser qu’on voudrait mourir d’amour pour elle.