Page:Haag - Le Livre d’un inconnu, 1879.djvu/81

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Hélas ! tu demeures muette
Et sourde à ma plainte inquiète ;
Mais mon cœur, à la fin lassé
Des espoirs menteurs qui désolent,
Retourne aux heures qui consolent,
Aux heures mortes du passé.