Page:Haag - Le Livre d’un inconnu, 1879.djvu/84

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Semblent lui dire : Vois, n’étions-nous assez belles
Pour te plaire ? — et les nids perdus dans les buissons :
N’avions-nous pas pour toi nos plus douces chansons ?
— Et lui, les yeux remplis de larmes attendries,
S’imaginant déjà ses blessures guéries,
Sent renaître un moment dans son cœur consolé
L’image d’un bonheur à jamais envolé.