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aie pitié de ton âme ! mets-là à l’abri de ses terribles atteintes.


    sa bien-aimée à ne pas se trouver sur sa route. L’ode se termine alors par ces vers qui rappellent le début : « À l’exemple de Hafiz, je ne veux plus bouger du seuil de la taverne, puisque notre compagnon de foi, notre pasteur, en est lui-même devenu le commensal. »