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moderne et du moyen âge ; des livres de voyages et de chasses, de poésie et de littérature épistolaire, et tout un cycle de littérature d’imagination, qui emprunte ses sujets à ces aspects de la nature humaine communs à toute l’humanité.
Nombre de ces livres sont étudiés soigneusement par les femmes coréennes, car celles qui les ignorent sont considérées avec dédain par les femmes des hautes classes et, à un moindre degré, par celles des classes moyennes.
Les servantes du palais sont les plus promptes à étudier et à connaître à fond la langue indigène, ayant besoin, par suite de leur position à la cour, de transcrire en on-mun les ordres du gouvernement, les