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Page:Hannon - Les treize sonnets du doigt dedans - 1882.djvu/20

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Ni le pao rosa subtil ni l’églantine
N’ont cette griserie absurde et libertine.
Aisselle, je te voue un culte très ardent,

Ô calice de chair plein de vins exotiques
Qu’on boit avec le nez et déguste pendant
Que s’emplissent d’amour les canaux spermatiques !