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Tu grondes, tu pleures, tu railles
Ton chant, lamentable joujou,
Fait frémir le maigre acajou
Où tintamarrent tes entrailles.


À moi le rire et le hoquet
Et les sanglots et les voix âcres
De ces grands airs que tu massacres,
Automatique perroquet !


Viens éteindre aux clameurs ravies
De ton gosier toujours dispos
Les cris de mes nerfs sans repos
Et de mes faims inassouvies !


Vignette de fin de chapitre