Page:Hans Staden - Des hommes sauvages nus feroces et anthropophages, original 1557.pdf/105

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En partant de l’endroit où nous avions passé la nuit, ils me demandèrent de nouveau ce qui allait arriver. Je dis au hasard : Quand nous approcherons de Boywassu, nous rencontrerons l’ennemi. Mais j’avais l’intention de m’échapper aussitôt que nous aurions débarqué, car cet endroit n’était qu’à six milles du lieu où ils m’avaient pris.