Page:Hans Staden - Des hommes sauvages nus feroces et anthropophages, original 1557.pdf/164

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à deux pas de l’esclave, et ils ont soin de le lui montrer. Une femme arrive alors avec la massue (iwera pemme), garnie de touffes de plumes tournées par en haut : elle se dirige vers le prisonnier, et la lui fait voir.

Ensuite un homme prend cette massue, s’avance devant le prisonnier et la lui montre aussi.