Page:Hans Staden - Des hommes sauvages nus feroces et anthropophages, original 1557.pdf/163

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et la tiennent par les deux bouts pendant un certain temps, après avoir eu soin de placer près de lui un tas de pierres, pour qu’il puisse en jeter aux femmes qui courent autour de lui et menacent de le dévorer. Celles-ci sont peintes, et attendent le moment où il sera coupé en morceaux pour les saisir et courir en les emportant autour des cabanes, ce qui divertit les autres.

Quand tout cela est terminé, ils allument un grand feu