Page:Hans Staden - Des hommes sauvages nus feroces et anthropophages, original 1557.pdf/167

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le traînent auprès du feu, lui grattent la peau pour la blanchir, et lui mettent un bâton dans le derrière pour que rien ne s’en échappe.

Lorsque la peau est bien grattée » un homme coupe les bras, et les jambes au dessus du genou. Quatre femmes s’emparent de ses membres, et se mettent à courir autour des cabanes,